Précipitations aimantes comme un poème
Mon oiseau
noir s'est envolé en déchirant l'entrave
de l'amour
Ce qui sera de
nourrir le thorax sans vie...
Anciennes chansons
folkloriques
Les oiseaux, les arbres, les gens conscients
J'écoute pour maintenir sur leurs racines
Les précipitations aimantes, sécheresse
étouffante comme un poème...
L'oreille
s'allonge, étang sale, martin-pêcheur
Balance à travers
les branches sur cette oreille
La mélodie de désir est jouée...
L'amour est si magnifique !
La fleur de vol tombe sur la
terrasse du quai
Bâton de thorax
L’Été la conception de la parole flotte sur la plume de l’arbre Simul
La mort, i, e, le dernier travail de la terre est si magnifique !
Les oiseaux, les arbres, les gens conscients
J'écoute pour maintenir sur leurs racines
Profondes, affligées
Les précipitations aimantes,
sécheresse étouffante comme un poème...
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