Domicile d’un Déporté
C’est une histoire de 1990 en Inde
Monsieur Bhora, le responsable d’immigration,
lit le fax et demande au gendarme Pedro : « Trouve ou Siddhârta
est ! Emmène-le ! Il y a une bonne nouvelle pour lui. Enfin, sa lutte
s’est finie. »
Pedro : « Quelle
nouvelle, Monsieur ? »
Bhora : « Il n’a
plus besoin de rester à l’aéroport. D’aujourd’hui il peut aller n’importe
où il veut. Le Conseil de
Sécurité lui l’a permis.
Pedro : « C’est très
bonne nouvelle, Monsieur. Depuis longtemps, on le pousse y vivre. »
Bhora : « Oui, tu y
travailles longtemps. Sais-tu combien de temps on le confine ? »
Pedro : « Neuf ans
évidemment ! »
Bhora : « Incroyable !
Un homme a habité tant de temps à la salle du transit ! »
Pedro : « Mais,
Monsieur, il ne parle rien, il ne demande rien. Toute la journée, il s’assoit
à un coin du transit silencieusement. »
Bhora : « Il n’aura
plus y vivre. Emmène le ! »
Le bureau de Monsieur Bhora est au
rez-de-chaussée et le transit au premier étage. Mais Siddhârta n’est pas la.
Ses possessions sont bien mises au chariot des bagages---- sa valise décolorée,
son sac de couchage, et une boite où ses choses quotidiennes se gardent. Pedro
est interloqué à son absence. Normalement, son matin se commence quand il se
rase, et puis il se baigne et il s’habille. Ensuite, il prend sa place au
transit.Il est bien organisé et met toutes ses choses ans un coin du transit.
Le blanchisseur fait la lessive pour Siddhârta. Le dernier directeur
Monsieur Prakash Lal l’a décidé pour aider à Siddhârta dans les façons
différentes.
« Il est allé où ? »
Pedro demande au garde : « Envoie-lui a Monsieur Bhora aussitôt
qu’il arrive ! »
Auparavant, il n’a pas eu de permission d’aller à l’extérieur. Sans
l’autorisation il ne pouvait pas aller du transit. A présent, il va souvent à
la gendarmerie, aux avocats ou au tribunal après qu’il soit été permis.Et la
police le garde maintenant. C’est pour lequel il peut se promener partout dans
l’aéroport. Mais, il se bouge très rarement. La plupart de temps il s’assoit à
une chaise de transit. Pendant la nuit, il y se couche, quoiqu’il préfère de
faire une couche douce avec les chaises. Souvent, certains policiers s’amusent
obstinément en bouleversant sa couche.
Tout à l’heure, Mariam, l’hôtesse de l’air de ‘Mayur Air’ cherchait
Siddhârta. Huit ans avant, il a été poussé d’y retourner de Singapore en raison
de l’absence de son identité légale et cet incident a été passé à l’avion où
Mariam a travaillé. Elle a eu la responsabilité d’emmener Siddhârta à la
police. C’était une responsabilité trop dure. Elle a regretté de voir les yeux affligés de Siddhârta. Les passagers comme
lui irritent beaucoup normalement ------ le cri, la requête, le pleur, la
menace, même la violence.Siddhârta n’a rien fait. Plutôt, il a suivi de Mariam
et finalement, il s’est abandonné au fonctionnaire d’immigration. Siddhârta
était un déporté. Comme les autres, Mariam l’a oublié.
Une semaine après quand elle était au point d’aller en avion, sa
collègue Mandira l’a indiqué : « Voici cet homme ---- qui a été
déporté à la dernière semaine, il se reste encore ici ! » Mariam a vu
qu’il (Siddhârta) s’est assis au transit silencieusement. Ses yeux étaient
vides. Au bout d’un moment, Mariam s’est rappelée le noms de cette
personne : Siddhârta Aditya. Sa mémoire l’a emmené a ce jour-là : le jour
de cet incident, elle a vu ses yeux affligés, son comportement silencieux. Elle
n’a pas pu visiter au transit pendant son travail en avion. Lorsqu’elle est
rentrée, elle a couru vers le transit pour réaliser sa curiosité excessive. En
la voyant, Siddhârta a souri gentiment et il s’est arrêté de sourire tout de
suite. Il a continué à lire un roman anglais sans lui dire rien.
Mariam lui a dit :
« Pourriez vous me reconnaître ? J’ai été à votre dernier
avion. »
Siddhârta avec sa voix lente a
répondu : « Vous êtes très sympathique. Cette fois-là, vous vous
m’étés beaucoup soucié. »
Mariam : « Mais pourquoi
vous restez encore ici ? »
Siddhârta : « Ils ne
me permettent pas d’aller. »
Mariam :
« Pourquoi ? »
Siddhârta : « Je n’ai
pas de passeport. Il a été volé. »
Mariam
n’a pas eu la connaissance des mesures prises à cette situation. Elle a pensé
de demander à un fonctionnaire de l’aide pour les voyageurs : Elle a
une relation respectueuse avec le directeur de l’aéroport. Il connaît
certainement à Siddhârta. Mariam a l’envie d’aider ce pauvre homme.Elle demande
à Siddhârta : « Voudriez vous manger quelque chose… ? »
Siddhârta n’est pas d’accord avec
elle : « Non, ils m’ont donné un coupon de déjeuner. Ça suffit pour
aujourd’hui. »
Mariam : « Voulez vous
l’autre chose ? Quelque chose nécessaire ? Cigarette ? »
Siddhârta : « Vous êtes
très gentille, Madame. Merci beaucoup. Je n’en ai besoin aucun. »
Mariam : « Je suis
Mariam. Mariam Biswas. Si vous voulez quelque chose, dites moi ! Je
viendrai ici encore. »
Elle n’a pas eu d’intention et d’envie de le dire. Principalement, elle
voulait réaliser sa curiosité. Mais, quand elle a commencé à parler, elle
sentait une cascade d’affection. Elle s’est émerveillée de voir son
comportement indifférent et ses yeux vides. Siddhârta a presque
quarante-cinq ans. Il est mince, grand, comme les indiens et sa voix est
sensible. Il prononce l’anglais comme les asiatiques de l’est. Il est bien
habillé et son visage paisible reflète un savant, comme un officier de l’armée.
Le jour prochain, Mariam a un congé professionnel. Mais, elle rencontre
Monsieur Saccidânanda, le directeur de l’aéroport. Elle lui
demande, « Pourquoi Siddhârta est confiné ? »
Il fait une
blague : « Je sens bien que les hôtesses de l’air s’inquiètent
des voyageurs sur la terre aussi ! Est-ce qu’il y a une raison secrète ? »
Mariam : « Je l’ai livré au département
d’immigration. Hier je l’ai encore vu ici. Cela m’a fait triste. Donc, je
voudrais savoir si je pourrais l’aider. »
Saccidânanda : « Le
seul problème, c’est qu’il n’aide pas lui-même. Nous l’essayons d’aider
plusieurs fois. Mais…. Nous lui devons donner les nourritures
régulièrement !
Combien de jours peut-on continuer
comme ça ? »
Mariam : « Si vous
m’expliqueriez le problème principal ? »
Saccidânanda : « Oui,
je te détaille jusqu'à ce qu’il soit informé. Mais, certaines raisons fortes
nous poussent à penser que Siddhârta veut cacher la plupart des
informations. »
Mariam : « Pourquoi ?
Quelqu’un veut rester ici comme ça ? »
Saccidânanda : «Ecoute d’abord ! Et puis,
juge le ! Deux mois avant, Siddhârta Aditya est venu de
Yangon via Bangkok. Le gouvernement barmis lui a donné un passeport spécial
pour le voyage. Une semaine après, il a déposé une plainte au commissariat de
Patna que ses documents, son argent, même, son passeport ont été volés pendant
son voyage de Benneras. Et notamment, il est habitant de Singapore. Mais, il
n’a pas pu donner ni le numéro du passeport ni les autres informations
primordiales. Il ne l’a pas noté. Et aussi, Il n’a pas mémorisé ce numéro
compliqué. »
Saccidânanda prend une pose et
continue : « Dix jours avant, il s’est présenté à
l’enregistrement avec un aller simple pour Singapore. On n’a trouvé aucune
explication logique pourquoi l’immigration lui a permis d’aller sans passeport.
Il lui a permis seulement en voyant la plainte ! Apres avoir examiné tout,
on a trouvé que l’immigration ne lui pas voulu permettre d’abord. Mais,
Siddhârta requêtait tellement qu’il a été permis finalement. Ce n’était pas
normal. Alors, un incident rare se passe comme ça, tu peux commenter ‘incroyable’.
Personne ne le peut croire : il n’est pas de citoyen de Singapore. Apres
être retourné comme un déporté, on a compris qu’il était réfugié. »
Mariam connaît bien qui sont les réfugiés. Elle apprend le sens de ce
mot après avoir reçu tant de souffrance. Qui est la réfugiée la plus
qu’elle-même ! Elle dépasse la frontière géographique plusieurs fois, mais
elle ne peut pas s’installer à un endroit en permanence.
Ce
matin, elle appelle à Siddhârta pour passer les informations tous ce qu’il
veut. Quelques jours avant, elle est allée en avion de Singapore. Comme
d’habitude, elle l’a demandé même cette fois-là si Siddhârta n’ait eu aucun
travail au Singapore.
Il l’a demandé : « Combien
de jours resterez-vous là-bas ? »
Mariam : « Trois jours
seulement. Mais c’est vraiment ennuyeux. »
Siddhârta :
« Ennuyeux ? Qu’est-ce que vous dites ? »
Mariam : « C’est une très
petite ville. A quoi je visite ! Que je fais des achats ! »
Siddhârta : « Si
vous ferriez ce travail, je serai reconnaissant envers vous. »
En le disant, Siddhârta elle a donné une pièce de page et a
dit : « Si vous pourriez aller à ces adresses, si vous
trouveriez quelqu’un de ces adresses…. »
Mariam a enchéri : « Si
ces personnes y vivrent, qu’est-ce que je leur demanderai ? »
Les yeux de Siddhârta sont rendus
brillants. Il a dit : « Parlerez de moi, s’il vous plait !
Dites que je suis confiné ici ! Si quelqu’un m’envoie un message, je
peux arriver chez eux. S’ils savent ma condition, ils m’emmèneraient
certainement. »
En voyant les quatre noms sur le papier, Mariam a
demandé : « Qui sont ces personnes ? Vos parentes ?
Pourquoi ne les avez-vous pas cherché ? »
Siddhârta a répondu :
« Non, ils ne sont pas mes parentes. Ils sont plutôt mes amis. A mon
enfance, nous jouions ensemble. Kiti était la plus belle et la plus méchante.
Elle m’a beaucoup aimé. Moi aussi. Mais, lorsque je me suis perdu, je ne me
suis pas rappelé leurs adresses. Quelques jours avant, j’ai vu Kiti dans mon
rêve. A ce moment-là, je me suis rappelé tout après avoir vu sa belle maison.
Pourriez-vous chercher, s’il vous plait ? »
En écoutent sa parole, Mariam a été certaine : « Siddhârta est
patient de l’imagination illogique. Pourquoi se rappelle-t-il son
enfance ? C’est impossible pour lui de mémoriser tout de son
enfance. »
Elle lui a
dit : « Mais, j’ai entendu que vous êtes né à Rengun qui
s’appelle Yangon maintenant. Vous y avez grandi aussi. Mais vos amis d’enfance
ont habité à Singapore. Comment c’est possible ? »
Un souri triste est venu à son (Siddhârta) visage. Il a commenté :
« Vous aussi ? Comme les autres, vous ne croyez pas que je sois un
citoyen de Singapore ! »
Mariam : « Ce n’est
pas de croyance. C’est plutôt une vérité. Vous êtes né à Rengun, n’est-ce
pas ? »
Siddhârta : « Oui, c’est
vrai. D’autre part, ce n’est pas vrai. Je n’aime pas détailler de moi même. Je
vous essaye de parler brièvement. Vous m’avez beaucoup aidé plusieurs fois.
C’est pourquoi, je vous dit : mon père était un citoyen de Singapore. Il
était homme des affaires, spécifiquement des montres. Apres être inspiré de la
parole de Netaji Subhas Basu, il a raillée à INA (Indian National Army) en
1943. Au mois du mars, 1944 la terre indienne s’est vue la guerre près de
Kohima. Le résultat était tous ce qu’on a espéré. Apres avoir perdu la
guerre, mon père s’est échappé comme les autres. Finalement, il a reçu
l’abri dans une famille agricole barmise, dors de Rengun. Ma mère était un
membre de cette famille. Je suis né en 1950. Mon père m’a emmené à Singapore en
1956. Ma tente y habite encore. Kiti était l’amie de ma cousine Flora. A cette
époque-là, j’ai connu Rabin, Yung….. »
Mariam : « Mais, c’était
passé quarante ans avant. Vous avez contacté avec eux récemment ? »
Siddhârta : « Non,
j’ai déjà dit que je me suis rappelé tout après avoir vu le rêve. »
Mariam : « Combien
de jours vous y avez reste ? »
Siddhârta : « Je ne
rappelle pas la durée exacte, probablement quinze jours. »
Mariam n’avait aucun doute : « Siddhârta est
complètement endormant à l’imagination
vide. C’est impossible de se rappeler, au bout d’un moment, les quinze jours de
1956. Mais elle s’intéresse à la jointure de son (Siddhârta) père à INA. »
Elle a demande à
Siddhârta : « Donc, vous tous êtes indiens. Pourquoi vous
n’essayez pas de restez ici ? »
Cette fois-là, pour la
première fois, Siddhârta a proteste très fortement : « Qui dit
que je suis indien ? Non, pas du tout. Je suis singapourien. »
Mariam : « Et pour quelle
raison est votre père allé à joindre à INA ? »
Siddhârta : « Comment
peux-je expliquer qu’un homme s’est transformé à un fou ? »
Pourtant, Mariam a beaucoup essayé de trouver les adresses tous ce qu’il
avait donné. Personne n’a pas pu aider. Plutôt, elle a été informée que
personne n’a jamais habité à ces adresses. Comment dira-t- elle à
Siddhârta ? Mariam a pensé pourquoi a-t-il mentionné des faux noms ?
Bien qu’il ait parlé illogiquement et en livraison depuis longtemps. Plusieurs
fois, Mariam a reçu la même expérience. Elle
s’est rappelée un jour : Mariam lui a demandé : « Votre
noms éprouve que vos prédécesseurs étaient probablement indiens. Votre père n’a
jamais dit des parentes qui habitaient ici ? »
Siddhârta a répondu :
« C’était peu probable qu’ils habitaient a Kapilavastu* à
l’époque de Vikramaditya**. »
Mariam : « Connaissez
vous à Vikramaditya ? A Kapilavastu ? »
Siddhârta : « Auparavant
je n’ai pas eu de connaissance. Mais, maintenant, je les
Connais répondre à vos questions. »
Mariam : « Et êtes
vous bouddhiste ? »
Siddhârta : « Non, pas de
tout. »
Mariam : « Et puis,
quelle est votre religion ? »
Siddhârta : « Manque
de secours. »
Mariam : « Quoi ?
Ça signifie quoi ? »
Siddhârta : « Je
suis un passager déporté, un captif irrémédiable. Combien de jours je reste
ici ! J’oublie le compte du temps… »
Mariam : « Quelle était
votre profession ? »
Siddhârta : « Tout.
Tous ce que je recevais. »
Mariam : « Où avez-vous
travaillé ? »
Siddhârta : « J’ai
travaillé presque partout à BangKok, à Yangon, à Chiangmai, Banhat,
Prome, Tongue….partout. Je les
ai déjà informé à la police. »
Monsieur Saccidânanda a déjà dit à Mariam que Siddhârta a donné des
informations contraires pendant le contre-interrogatoire. Le gouvernement
barmis a refusé de le recevoir. Ils ont opiné que Siddhârta n’est jamais
été barmis. Et surtout, le gouvernement singapourien n’a pas eu l’envie de
l’accepter sans vraie preuve. En effet, il a du visiter aux consulats et
apparaître régulièrement au tribunal.
A la première année de son incarcération, les journaux ont publié sa
nouvelle répétitivement. Les chaînes tellières l’ont aussi semé à la volée. Les
journalistes sympathiques ont essayé de montrer sa situation malheureuse, sa
souffrance pour que le gouvernement ait pris des mesures. Apres avoir
publié ses nouvelles régulièrement, tant de personnes et d’organisations sont
venues pour l’aider.
Mais quelques semaines après, les journaux ont
changé leurs intérêts. Comme d’habitude, le meurtre des politiques, le tremblement
de terre, l’assassinat pour l’honneur, les politiques mondiales etc. sont été
publiés à la une. Comme la presse, les gens en commun aussi l’ont oublié entre
quelques semaines. Les chaînes n’ont plus montré sa photo à la nouvelle des
personnes perdues. Quant même, il s’est resté au transit à l’aide des
entreprises d’avion et des leurs employés. Ils lui ont donné des coupons du
déjeuner et du dîner. Les hôtesses de l’air lui ont donné les cigarettes, les
cuivres, les crèmes à rager, les rasoirs, les savons, les shampooings etc. Les
ONG l’ont envoyé les vêtements.
Mariam l’a rencontré quatre fois par mois régulièrement, bien que
Siddhârta n’ait jamais voulu tous ce qu’il a besoin. Même, il parlait trop peu.
Et notamment, il passait toute la journée en restant à la même place. La
police aussi, de temps en temps, a perdu son intérêt à ce cas. C’était clair
qu’il n’était pas ni espion, ni terroriste, même, ni contrebandier. Il s’est
allé à la gendarmerie très gentiment aussitôt que la police l’ait appelé. En
dépit de rester longtemps au transit, il reste indifféremment. Personne ne
culpabilise jamais contre lui, ni pour son comportement, ni pour crime.
Comment est un réfugié devenu tellement triste, isolé ? Mariam
en a pensé souvent. Elle croyait elle-même comme une réfugiée. A l’enfance,
elle est partie de l’Uganda et elle est allée à Londres avec son père. Quelques
ans après, son père est parti Londres et il est venu à Delhi. En suite, a
Hyderabad. Apres sa mort, Mariam s’est installée à Kolkata. En fin, elle s’est
mariée et pour réaliser sa volonté, elle est allée à Dhaka pour s’y installer.
Quatre mois après, elle a du retourner à Kolkata. Heureusement, elle a eu
de la chance de rejoindre à son travail. Grâce au travail, il a arrêté de
prolonger son cauchemar de cohabiter avec l’autre femme de son mari. Elle n’est
encore pas isolée. Elle a des parentes. Son frère habite à Kânpur, sa sœur à
Surat. Même, sa mère reste avec elle. Mais Siddhârta ? Est-il vraiment
isolé ? Est-il sans patente ? Mariam l’a posé cette question plusieurs
fois, elle n’a jamais reçu la vraie réponse. Un jour, elle voulait
savoir : « Où habite votre famille ? Votre femme, votre
garçon, fille…. ? »
Siddhârta s’est tourné vers elle sans expression. Ses yeux étaient
vides. Il a seulement tourné sa tête.
Mariam l’a encore posé
: « Vous n’avez aucune famille ? »
Siddhârta : « Non.
J’ai passé toute ma vie en cherchant un abri. Je n’ai pas pu me familiariser
avec un endroit. Comment peux-je acquérir une famille ? »
Mariam : « Vous
n’avez aucune copine ? »
Siddhârta : « Personne
ne veut être ami d’une personne désarmée. »
Mariam : « Vous
n’avez aucune parente ? »
Siddhârta : « J’ai
déjà dit. Je suis seul. »
Mariam : « Mais,
pourquoi voulez vous aller au Singapore ? »
Siddhârta : « C’est
mon pays. Le pays signifie la mère. Qui est plus grande donatrice
De l’abri qu’une mère ? »
En suite, il a
dit : « Savez vous, j’ai un rêve de retourner à mon pays et
acheter un bel appartement ? Je veux l’embellir et chercher l’adresse de
mon monde perdu en voyant la mer… »
Mariam a pensé de sa
réaction s’il ait écouté de ne pas avoir les adresses de ses amis d’enfance.
Mais, elle a du lui dire. Elle a beaucoup hésité et finalement
dit : « J’ai beaucoup cherché. Mais, personne n’a rien
informé. »
Siddhârta
l’a écouté tranquillement. Il s’est été triste et il a souri un souri
vide : « Vous m’avez tellement aidé …C’est inhumain de vous
remercier seulement. Toute la vie, je suis reconnaissant envers vous. »
Aujourd’hui quand il retourne à sa place, il voit que la couleur du ciel
se change. La journée va se finir rapidement. Quelques jours avant, Mariam a
annoncé la mort de son rêve. Cette nuit, il dormira sans stresse.
En voyant Siddhârta, le gardien lui dit : « Monsieur
Bhora t’a appelé. Rencontre-lui. »
Siddhârta reste sans expression de l’écouter. C’est une nouvelle
régulière. Monsieur Bhora souvent lui appelle, quelque fois sans raison
spécifique. Si cet officier d’immigration n’a aucun travail, il lit le dossier
de Siddhârta et il continue à discuter avec lui.
Siddhârta
est interloqué de voir son accueil. Monsieur Bhora tient ses mains et il
lui fait asseoir à la chaise. Il le salue fébrilement et
commente : « Félicitations ! Tu dois célébrer ce
jour. »
En
voyant son visage émerveillé et son expression tranquille, Monsieur Bhora
lui encore dit : « T’a pas compris ? Ecoute, Siddhârta, tu
es libre maintenant. Tu peux aller n’importe où tu veux ! Oui, n’ importe
où tu veux aller à Singapore, Londres, même, à Yangon. »
Siddhârta : « Singapore ?
Londres ? »
Bhora : « Oui. Les
entreprises de l’avion te donneront le billet gratuit. »
Siddhârta pense et
demande : « Est-ce qu’une rêve ? Où il entend
mal ? Où Monsieur Bhora fait une blague avec lui ? Aujourd’hui nous
ne sommes pas le premier avril. Et puis ? »
Le gouvernement indien continuellement annonçait que Siddhârta est venu
en Inde illégalement. Mais, ce gouvernement ne l’a pas pu envoyer aux autres
pays, car, aucun pays ne l’a pas accepté. Mais, aujourd’hui ! Toutes les
portes sont ouvertes. Est-ce qu’il un conte de fées ?
Siddhârta s’assied silencieusement.
A ce moment, Mariam écoute de changement inattendu de sort pour
Siddhârta. Elle est émerveillée en écoutant la parole de Monsieur
Saccidânanda :
Grâce à la publication de ses
nouvelles à la télévision et aux journaux, Monsieur Indave qui lutte pour les
droits de l’homme depuis longtemps, a essayé de montrer avec précision
l’histoire de Siddhârta aux conférences internationales. La lutte de sept ans
s’est finie aujourd’hui. Selon la Déclaration de Conférence Mondiale à Vienne pour
les droits de l’homme, la liberté d’une personne impuissante est
respectée.
Monsieur Saccidânanda remarque : « Mais, c’est le plus
surpris que personne ne cherche pas Siddhârta, personne ne dit pas qu’il ou
qu’elle le connaît, malgré tant d’annonce aux journaux, aux chaînes. C’est
incroyable ! Personne n’est jamais existé qui a étudié ou jouée ou
travaillé avec lui ?
Quelqu’un, sa parente ou son
ami, même une personne de sa connaissance aurait déclaré qu’il ou qu’elle ait
connu Siddhârta. Mais, ce n’était jamais passé. Personne n’est jamais venu.
C‘est un vide dangereux et interminable. Un voyage noir et échoué… »
Mariam dit : « J’ai
beaucoup essayé de connaître à ses parentes. Il n’a rien dit. Quand il les a
mentionné, ses informations sont été illogiques, fausses. »
« Oui », Saccidânanda
dit : « Ses informations n’étaient pas bien liées. Voyons-nous, qu’est-ce
qu’il fera, où il ira ! J’ai déjà permis de lui donner le billet n’importe
où il veut aller. Le billet sera gratuit. »
En sortant du bureau de Monsieur Saccidânanda, Mariam vient au bureau de
Monsieur Bhora. Son bureau est déjà très bondée. Apres être informés a la
nouvelle de Siddhârta, les journalistes des chaînes et des journaux sont venus
en courant ici. Mariam ne peut pas y entrer.
Monsieur Bhora dit à
Siddhârta : « Tu est très célèbre maintenant. Emmène-les au
transit ! »
Apres être arrivée au transit,
Siddhârta invite tous en souriant : « Asseyez-vous, s’il vous
plait ! »
Les journalistes et les photographes prennent leurs places dans ce grand
transit. Les yeux de Siddhârta cherchent Mariam et la trouve. Deux heures
avant, Mariam lui a conté la mort de son rêve. : Elle n’a pas trouvé ses
amis (de Siddhârta) d’enfance. Il vient a Mariam et
demande : « Vous voulez commenter ? »
Mariam : « Je suis
très heureuse d’écouter la nouvelle. Félicitations ! »
Siddhârta : « Merci
beaucoup ! Si vous êtes libre, asseyez-vous s’il vous plait !
Ecoutons-nous tous qu’est-ce qu’ils posent ! »
Il est debout devant les
journalistes attendus et dit : « Oui, je suis prêt. »
Une douzaine de questions se posent
ensemble ment.
« Votre réaction après être
libre ? »
« Décidez-vous aller
où? »
« A qui voulez-vous contacter
premièrement ? »
« Retournerez chez votre
pays ? Ou un autre pays ? »
« Contez-nous votre expérience
de rester ici ! »
« Qu’est-ce que vous
ferez ? Où ? »
« Demanderiez-vous le
dédommagement au gouvernement ? »
En écoutant ces questions, Siddhârta sent mal de tête. Il se rappelle
tous que Mariam lui a dit : « personne ne reste à sa domicile de
Singapore, ses amis non plus, ni leurs adresses, ni leur existence. Ses amis
n’ont jamais habité aux adresses données à Mariam. Kiti n’est pas là. Elle n’y
a jamais été. Ni Rabin, Flora, Yung. Jamais. Mais, Mariam est là. Et Abani,
Bhora sont la. Et aussi, Mandira, Pandey, Sahadat, Kishor, Bhajan, surtout les
gens de l’aéroport qui prennent le soin de Siddhârta tant d’ans, qui lui
aident, qui l’aiment avec affection ------- ils sont là.
A ce moment un journaliste a posé Siddhârta : « Pourquoi vous
ne nous répondez pas ? »
En regardant tous, Siddhârta
dit : « Si vous avez d’autres questions, posez-moi ! Je
donne une réponse entière pour toutes les questions. »
Le
journaliste : « Quand vous partirez ? »
Siddhârta se lève de sa chaise et regarde tous. Mariam est debout
silencieusement dans un coin. Il y a le silence et l’anquietude dans le
transit. De la grande fenêtre, Siddhârta voie la distance infinie du ciel ----
l’horizon qui s’allège rouge par le coucher du soleil. Il répond
lentement : « Je n’irai nul part. Je resterai ici. C’est ma
maison, mon domicile… »
Qu’est-ce
qu’il y a à sa parole ? A l’expression de son visage ? Sa voix fait
arrêter les journalistes cuisants ---- les ergoteurs pour quelques moments.
Tout est en silence du entière. Ils essayent d’habituer les mots indécents de
Siddhârta et encore posent les questions l’une après l’autre :
« Pourquoi vous avez tellement
lutté depuis longtemps ? »
Siddhârta : « Pour
établir mon droit. Mais, ce n’est pas obligatoire que je doive le suivre.
J’ai gagné, c’est vrai. Mais, je reste ici. »
Journaliste : « Le
gouvernement indien ne vous permettra pas d’y habiter. Qu’est-ce que vous ferez ? »
Siddhârta : « Une
nouvelle lutte. »
Journaliste : « Qu’est-ce
que vous demanderez au gouvernement ? »
Siddhârta : « Le
droit de l’homme. »
Journaliste : « Donc,
vous n’irez nulle part ? Vraiment ? C’est votre décision
finale ? »
Siddhârta : « Je
n’irai pas d’ici. Les employées de cet aéroport sont mes parentes.
Pourquoi je les quitte ? Pourquoi je pars ? Je ne peux pas aller ----
je
N’irai pas. »
Tous
les journalistes partent le transit. A cette place vide, Mariam vient à
Siddhârta, mais elle ne trouve aucun mot de lui dire. Siddhârta est déjà très
fatigué. Il s’étend au sofa et il couvre ses yeux par les mains. La fragrance
de Mariam frappe sa pensé comme le ruisseau de fontaine.
Maintenant,
il prend ses mains à part et il s’assoit
proprement.
Il
voit Mariam avec une vue vide et confuse. En contrôlant tant de tristesse, il
dit à la voix mélancolique : « Vous avez déjà trouvé qu’il n’y
avait rien a mon pays, ni de parentes ni d’amis. Et puis, pourquoi j’y
irai ? Ici, j’ai tous mes amis, mes gardiens. Vous êtes aussi. Vous voulez
que j’aille ? »
Mariam
est touchée par pauvre Siddhârta. Elle a de la sensation d’affection et
d’engouement. Tout à coup, une passion
perdue saute à son cœur comme si elle passe le monde de re-naissance. Mariam
met la main à la tête de Siddhârta et lui dit : « Je n’ai jamais
dit d’aller. Je ne le dirai jamais… »
Fin
*Kapilavastu : C’était
la capitale du roi Vikramaditya
**Vikramaditya : Il
était le plus grand et le plus populaire roi parmi les rois parmi la famille Gupta a la première siècle en Inde.
Le 20 mars, 2011