L’oiseau
de moin d’adresse
En
regardant a la porte de verre brun dans le café, Somdutta dit : «Un
fou est plus sympathique qu’un idiot. L’oiseau de moin d’adresse meurt d’envie
de voler de la paume de ma main. » Je crois qu’il est devenu un fou.
Soudain, il est sorti de ce café. Il ne
fait jamais comme ça dans notre convivialité. Il tient ses mains sur les dos de
tout le monde et fait un sourire de chagrin. Alors, il dit :
« Maintenant l’oiseau va voler… » Nous demandons de sa conduite. La convivialité
devient mauvaise. Nous décidons d’aller chez lui le jour prochain. Ce sera
l’une des vacances. Tous nos amis ont l’air triste. Parce que, Somdutta est
notre meilleur ami dans cette grande ville, il est le chef de notre convivialité.
Le matin
prochain, nous arrivons chez lui vers huit heures, ayons peur. Il se couche sur
son lit. La couverture de son lit et sa chemise est pleine de sang. La lame est
sur l’étape de sang. Quand les autres pleurent,
je trouve, tout a coup, une lettre dans sa main
droite. Dans cette lettre, je peux lire les mots clairement :
« L’oiseau de moins d’adresse est en train de voler…qui sait
ou ? » La lettre tremble un peu de l’air.
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