Thursday, February 7, 2013

Another French Story of mine



Domicile d’un Déporté
                                     C’est une histoire de 1990 en Inde
                                                                  Monsieur Bhora, le responsable d’immigration, lit le fax et demande au gendarme Pedro : « Trouve ou Siddhârta est ! Emmène-le ! Il y a une bonne nouvelle pour lui. Enfin, sa lutte s’est finie. »
Pedro : « Quelle nouvelle, Monsieur ? »
Bhora : « Il n’a plus besoin de rester à l’aéroport. D’aujourd’hui il peut aller n’importe                                     où  il veut. Le Conseil de Sécurité lui l’a permis. 
Pedro : « C’est très bonne nouvelle, Monsieur. Depuis longtemps, on le pousse y vivre. »
Bhora : « Oui, tu y travailles longtemps. Sais-tu combien de temps on le confine ? »
Pedro : « Neuf ans évidemment ! »
Bhora : « Incroyable ! Un homme a habité tant de temps à la salle du transit ! » 
Pedro : « Mais, Monsieur, il ne parle rien, il ne demande rien. Toute la journée, il s’assoit
               à un coin du transit silencieusement. »
Bhora : « Il n’aura plus y vivre. Emmène le ! » 
                                                                    Le bureau de Monsieur Bhora est au rez-de-chaussée et le transit au premier étage. Mais Siddhârta n’est pas la. Ses possessions sont bien mises au chariot des bagages---- sa valise décolorée, son sac de couchage, et une boite où ses choses quotidiennes se gardent. Pedro est interloqué à son absence. Normalement, son matin se commence quand il se rase, et puis il se baigne et il s’habille. Ensuite, il prend sa place au transit.Il est bien organisé et met toutes ses choses ans un coin du transit. Le blanchisseur fait la lessive pour Siddhârta.  Le dernier directeur Monsieur Prakash Lal l’a décidé pour aider à Siddhârta dans les façons différentes.
« Il est allé où ? » Pedro demande au garde : « Envoie-lui a Monsieur Bhora aussitôt qu’il arrive ! »
                                                                   Auparavant, il n’a pas eu de permission d’aller à l’extérieur. Sans l’autorisation il ne pouvait pas aller du transit. A présent, il va souvent à la gendarmerie, aux avocats ou au tribunal après qu’il soit été permis.Et la police le garde maintenant. C’est pour lequel il peut se promener partout dans l’aéroport. Mais, il se bouge très rarement. La plupart de temps il s’assoit à une chaise de transit. Pendant la nuit, il y se couche, quoiqu’il préfère de faire une couche douce avec les chaises. Souvent, certains policiers s’amusent obstinément en bouleversant sa couche. 
                                                                   Tout à l’heure, Mariam, l’hôtesse de l’air de ‘Mayur Air’ cherchait Siddhârta. Huit ans avant, il a été poussé d’y retourner de Singapore en raison de l’absence de son identité légale et cet incident a été passé à l’avion où Mariam a travaillé. Elle a eu la responsabilité d’emmener Siddhârta à la police. C’était une responsabilité trop dure. Elle a regretté de voir les yeux    affligés de Siddhârta. Les passagers comme lui irritent beaucoup normalement ------ le cri, la requête, le pleur, la menace, même la violence.Siddhârta n’a rien fait. Plutôt, il a suivi de Mariam et finalement, il s’est abandonné au fonctionnaire d’immigration. Siddhârta était un déporté. Comme les autres, Mariam l’a oublié. 
                                                                   Une semaine après quand elle était au point d’aller en avion, sa collègue Mandira l’a indiqué : « Voici cet homme ---- qui a été déporté à la dernière semaine, il se reste encore ici ! » Mariam a vu qu’il (Siddhârta) s’est assis au transit silencieusement. Ses yeux étaient vides. Au bout d’un moment, Mariam s’est rappelée le noms de cette personne : Siddhârta Aditya. Sa mémoire l’a emmené a ce jour-là : le jour de cet incident, elle a vu ses yeux affligés, son comportement silencieux. Elle n’a pas pu visiter au transit pendant son travail en avion. Lorsqu’elle est rentrée, elle a couru vers le transit pour réaliser sa curiosité excessive. En la voyant, Siddhârta a souri gentiment et il s’est arrêté de sourire tout de suite. Il a continué à lire un roman anglais sans lui dire rien.
Mariam lui a dit : « Pourriez vous me reconnaître ? J’ai été à votre dernier avion. »
Siddhârta avec sa voix lente a répondu : « Vous êtes très sympathique. Cette fois-là, vous vous m’étés beaucoup soucié. »
Mariam : « Mais pourquoi vous restez encore ici ? »
Siddhârta : « Ils ne me permettent pas d’aller. »
Mariam : « Pourquoi ? »
Siddhârta : «  Je n’ai pas de passeport. Il a été volé. »
                                                                       Mariam n’a pas eu la connaissance des mesures prises à cette situation. Elle a pensé de demander à un fonctionnaire de l’aide pour les voyageurs : Elle a une  relation respectueuse avec le directeur de l’aéroport. Il connaît certainement à Siddhârta. Mariam a l’envie d’aider ce pauvre homme.Elle demande à Siddhârta : «  Voudriez vous manger quelque chose… ? »
Siddhârta n’est pas d’accord avec elle : « Non, ils m’ont donné un coupon de déjeuner. Ça suffit pour aujourd’hui. »
Mariam : « Voulez vous l’autre chose ? Quelque chose nécessaire ? Cigarette ? »
Siddhârta : « Vous êtes très gentille, Madame. Merci beaucoup. Je n’en ai besoin aucun. »
Mariam : « Je suis Mariam. Mariam Biswas. Si vous voulez quelque chose, dites moi ! Je viendrai ici encore. »
                                                                        Elle n’a pas eu d’intention et d’envie de le dire. Principalement, elle voulait réaliser sa curiosité. Mais, quand elle a commencé à parler, elle sentait une cascade d’affection. Elle s’est émerveillée de voir son comportement indifférent et ses yeux vides. Siddhârta a presque quarante-cinq ans. Il est mince, grand, comme les indiens et sa voix est sensible. Il prononce l’anglais comme les asiatiques de l’est. Il est bien habillé et son visage paisible reflète un savant, comme un officier de l’armée.  
                                                                        Le jour prochain, Mariam a un congé professionnel. Mais, elle rencontre Monsieur Saccidânanda, le directeur de l’aéroport. Elle lui demande, « Pourquoi Siddhârta est confiné ? »
Il fait une blague : « Je sens bien que les hôtesses de l’air s’inquiètent des voyageurs sur la terre aussi ! Est-ce qu’il y a une raison secrète ? »
Mariam : « Je l’ai livré au département d’immigration. Hier je l’ai encore vu  ici. Cela m’a fait triste. Donc, je voudrais savoir si je pourrais l’aider. »
Saccidânanda : « Le seul problème, c’est qu’il n’aide pas lui-même. Nous l’essayons d’aider plusieurs fois. Mais…. Nous lui devons donner les nourritures régulièrement !
Combien de jours peut-on continuer comme ça ? »
Mariam : « Si vous m’expliqueriez le problème principal ? »
Saccidânanda : « Oui, je te détaille jusqu'à ce qu’il soit informé. Mais, certaines raisons fortes nous poussent à penser que Siddhârta veut cacher la plupart des informations. »
Mariam : « Pourquoi ? Quelqu’un veut rester ici comme ça ? »
Saccidânanda : «Ecoute d’abord ! Et puis, juge le ! Deux mois avant, Siddhârta Aditya est   venu de Yangon via Bangkok. Le gouvernement barmis lui a donné un passeport spécial pour le voyage. Une semaine après, il a déposé une plainte au commissariat de Patna que ses documents, son argent, même, son passeport ont été volés pendant son voyage de Benneras. Et notamment, il est habitant de Singapore. Mais, il n’a pas pu donner ni le numéro du passeport ni les autres informations primordiales. Il ne l’a pas noté. Et aussi, Il n’a pas mémorisé ce numéro compliqué. »
Saccidânanda prend une pose et continue : « Dix jours avant, il s’est présenté à l’enregistrement avec un aller simple pour Singapore. On n’a trouvé aucune explication logique pourquoi l’immigration lui a permis d’aller sans passeport. Il lui a permis seulement en voyant la plainte ! Apres avoir examiné tout, on a trouvé que l’immigration ne lui pas voulu permettre d’abord. Mais, Siddhârta requêtait tellement qu’il a été permis finalement. Ce n’était pas normal. Alors, un incident rare se passe comme ça, tu peux commenter ‘incroyable’. Personne ne le peut croire : il n’est pas de citoyen de Singapore. Apres être retourné comme un déporté, on a compris qu’il était réfugié. » 
                                                                      Mariam connaît bien qui sont les réfugiés. Elle apprend le sens de ce mot après avoir reçu tant de souffrance. Qui est la réfugiée la plus qu’elle-même ! Elle dépasse la frontière géographique plusieurs fois, mais elle ne peut pas s’installer à un endroit en permanence.
                                                                      Ce matin, elle appelle à Siddhârta pour passer les informations tous ce qu’il veut. Quelques jours avant, elle est allée en avion de Singapore. Comme d’habitude, elle l’a demandé même cette fois-là si Siddhârta n’ait eu aucun travail au Singapore.
Il l’a demandé : « Combien de jours resterez-vous là-bas ? »
Mariam : « Trois jours seulement. Mais c’est vraiment ennuyeux. »
Siddhârta : « Ennuyeux ? Qu’est-ce que vous dites ? »
Mariam : « C’est une très petite ville. A quoi je visite ! Que je fais des achats ! »
Siddhârta : « Si vous ferriez ce travail, je serai reconnaissant envers vous. »
                                                                      En le disant, Siddhârta elle a donné une pièce de page  et a dit : « Si vous pourriez aller à ces adresses, si vous trouveriez quelqu’un de ces adresses…. »
Mariam a enchéri : « Si ces personnes y vivrent, qu’est-ce que je leur demanderai ? » 
Les yeux de Siddhârta sont rendus brillants. Il a dit : «  Parlerez de moi, s’il vous plait ! Dites  que je suis confiné ici ! Si quelqu’un m’envoie un message, je peux arriver chez eux. S’ils savent ma condition, ils m’emmèneraient certainement. »
                                                                       En voyant les quatre noms sur le papier, Mariam a demandé : « Qui sont ces personnes ? Vos parentes ? Pourquoi ne les avez-vous pas cherché ? »
Siddhârta a répondu : « Non, ils ne sont pas mes parentes. Ils sont plutôt mes amis. A mon enfance, nous jouions ensemble. Kiti était la plus belle et la plus méchante. Elle m’a beaucoup aimé. Moi aussi. Mais, lorsque je me suis perdu, je ne me suis pas rappelé leurs adresses. Quelques jours avant, j’ai vu Kiti dans mon rêve. A ce moment-là, je me suis rappelé tout après avoir vu sa belle maison. Pourriez-vous chercher, s’il vous plait ? » 
                                                                       En écoutent sa parole, Mariam a été certaine : « Siddhârta est patient de l’imagination illogique. Pourquoi se rappelle-t-il son enfance ? C’est impossible pour lui de mémoriser tout de son enfance. »
Elle lui a dit : « Mais, j’ai entendu que vous êtes né à Rengun qui s’appelle Yangon maintenant. Vous y avez grandi aussi. Mais vos amis d’enfance ont habité à Singapore. Comment c’est possible ? »
                                                                       Un souri triste est venu à son (Siddhârta) visage. Il a commenté : « Vous aussi ? Comme les autres, vous ne croyez pas que je sois un citoyen de Singapore ! »
Mariam : « Ce n’est pas de croyance. C’est plutôt une vérité. Vous êtes né à Rengun, n’est-ce pas ? »
Siddhârta : « Oui, c’est vrai. D’autre part, ce n’est pas vrai. Je n’aime pas détailler de moi même. Je vous essaye de parler brièvement. Vous m’avez beaucoup aidé plusieurs fois. C’est pourquoi, je vous dit : mon père était un citoyen de Singapore. Il était homme des affaires, spécifiquement des montres. Apres être inspiré de la parole de Netaji Subhas Basu, il a raillée à INA (Indian National Army) en 1943. Au mois du mars, 1944 la terre indienne s’est vue la guerre près de Kohima. Le résultat était  tous ce qu’on a espéré. Apres avoir perdu la guerre, mon père s’est échappé  comme les autres. Finalement, il a reçu l’abri dans une famille agricole barmise, dors de Rengun. Ma mère était un membre de cette famille. Je suis né en 1950. Mon père m’a emmené à Singapore en 1956. Ma tente y habite encore. Kiti était l’amie de ma cousine Flora. A cette époque-là, j’ai connu Rabin, Yung….. »
Mariam : « Mais, c’était passé quarante ans avant. Vous avez contacté avec eux récemment ? »
Siddhârta : « Non, j’ai déjà dit que je me suis rappelé tout après avoir vu le rêve. »
Mariam : « Combien de jours vous y avez reste ? »
Siddhârta : « Je ne rappelle pas la durée exacte, probablement quinze jours. » 
                                                                  Mariam n’avait  aucun doute : «  Siddhârta est complètement endormant à  l’imagination vide. C’est impossible de se rappeler, au bout d’un moment, les quinze jours de 1956. Mais elle s’intéresse à la jointure de son (Siddhârta) père à  INA. »
Elle a demande à Siddhârta : « Donc, vous tous êtes indiens. Pourquoi vous n’essayez pas de restez ici ? »
                                                                  Cette fois-là, pour la première fois, Siddhârta a proteste très fortement : « Qui dit que je suis  indien ? Non, pas du tout. Je suis singapourien. »
Mariam : « Et pour quelle raison est votre père allé à joindre à INA ? »
Siddhârta : « Comment peux-je expliquer qu’un homme s’est transformé à un fou ? » 
                                                                  Pourtant, Mariam a beaucoup essayé de trouver les adresses tous ce qu’il avait donné. Personne n’a pas pu aider. Plutôt, elle a été informée que personne n’a jamais habité à ces adresses. Comment dira-t- elle à Siddhârta ? Mariam a pensé pourquoi a-t-il mentionné des faux noms ? Bien qu’il ait parlé illogiquement et en livraison depuis longtemps. Plusieurs fois, Mariam a reçu la même expérience.                                                  Elle s’est rappelée  un jour : Mariam lui a demandé : « Votre noms éprouve que vos prédécesseurs étaient probablement indiens. Votre père n’a jamais dit des parentes qui habitaient ici ? »
Siddhârta a répondu : « C’était  peu probable qu’ils habitaient a Kapilavastu*  à l’époque de Vikramaditya**. »
Mariam : « Connaissez vous à Vikramaditya ? A Kapilavastu ? »
Siddhârta : « Auparavant je n’ai pas eu de connaissance. Mais, maintenant, je les
                     Connais répondre à  vos questions. »
Mariam : « Et êtes vous bouddhiste ? »
Siddhârta : « Non, pas de tout. »
Mariam : « Et puis, quelle est votre religion ? »
Siddhârta : « Manque de secours. »
Mariam : « Quoi ? Ça signifie quoi ? »
Siddhârta : «  Je suis un passager déporté, un captif irrémédiable. Combien de jours je reste ici ! J’oublie le compte du temps… »
Mariam : «  Quelle était votre profession ? »
Siddhârta : « Tout. Tous ce que je recevais. »
Mariam : « Où avez-vous travaillé ? »
Siddhârta : « J’ai travaillé presque partout à BangKok, à Yangon, à Chiangmai, Banhat,
                       Prome, Tongue….partout. Je les ai déjà informé à la police. » 
                                                             Monsieur Saccidânanda a déjà dit à Mariam que Siddhârta a donné des informations contraires pendant le contre-interrogatoire. Le gouvernement barmis a refusé de le recevoir. Ils ont opiné que Siddhârta  n’est jamais été barmis. Et surtout, le gouvernement singapourien n’a pas eu l’envie de l’accepter sans vraie preuve. En effet, il a du visiter aux consulats et apparaître régulièrement au tribunal.
                                                             A la première année de son incarcération, les journaux ont publié sa nouvelle répétitivement. Les chaînes tellières l’ont aussi semé à la volée. Les journalistes sympathiques ont essayé de montrer sa situation malheureuse, sa souffrance  pour que le gouvernement ait pris des mesures. Apres avoir publié ses nouvelles régulièrement, tant de personnes et d’organisations sont venues pour l’aider.                                                                     Mais quelques semaines après, les journaux ont changé leurs intérêts. Comme d’habitude, le meurtre des politiques, le tremblement de terre, l’assassinat pour l’honneur, les politiques mondiales etc. sont été publiés à la une. Comme la presse, les gens en commun aussi l’ont oublié entre quelques semaines. Les chaînes n’ont plus montré sa photo à la nouvelle des personnes perdues. Quant même, il s’est resté   au transit à l’aide des entreprises d’avion et des leurs employés. Ils lui ont donné des coupons du déjeuner et du dîner. Les hôtesses de l’air lui ont donné les cigarettes, les cuivres, les crèmes à rager, les rasoirs, les savons, les shampooings etc. Les ONG l’ont envoyé les vêtements. 
                                                            Mariam l’a rencontré quatre fois par mois régulièrement, bien que Siddhârta n’ait jamais voulu tous ce qu’il a besoin. Même, il parlait trop peu. Et notamment, il passait toute la journée  en restant à la même place. La police aussi, de temps en temps, a perdu son intérêt à ce cas. C’était clair qu’il n’était pas ni espion, ni terroriste, même, ni contrebandier. Il s’est allé à la gendarmerie très gentiment aussitôt que la police l’ait appelé. En dépit de rester longtemps au transit, il reste indifféremment. Personne ne culpabilise jamais contre lui, ni pour son comportement, ni pour crime. 
                                                           Comment est un réfugié  devenu tellement triste, isolé ? Mariam en a pensé souvent. Elle croyait elle-même comme une réfugiée. A l’enfance, elle est partie de l’Uganda et elle est allée à Londres avec son père. Quelques ans après, son père est parti Londres et il est venu à Delhi. En suite, a Hyderabad. Apres sa mort, Mariam s’est installée à Kolkata. En fin, elle s’est mariée et pour réaliser sa volonté, elle est allée à Dhaka pour s’y installer. Quatre mois après, elle a du retourner à Kolkata. Heureusement, elle a  eu de la chance de rejoindre à  son travail. Grâce au travail, il a arrêté de prolonger son cauchemar de cohabiter avec l’autre femme de son mari. Elle n’est encore pas isolée. Elle a des parentes. Son frère habite à Kânpur, sa sœur à Surat. Même, sa mère reste avec elle. Mais Siddhârta ? Est-il vraiment isolé ? Est-il sans patente ? Mariam l’a posé cette question plusieurs fois, elle n’a jamais reçu la vraie réponse. Un jour, elle voulait savoir : « Où habite votre famille ? Votre femme, votre garçon, fille…. ? »
                                                            Siddhârta s’est tourné vers elle sans expression. Ses yeux étaient vides. Il a seulement tourné sa tête.
Mariam l’a encore posé : « Vous n’avez aucune famille ? »
Siddhârta : « Non. J’ai passé toute ma vie en cherchant un abri. Je n’ai pas pu me familiariser avec un endroit. Comment peux-je acquérir une famille ? »
Mariam : « Vous n’avez aucune copine ? »
Siddhârta : « Personne ne veut être ami d’une personne désarmée. »
Mariam : « Vous n’avez aucune parente ? »
Siddhârta : « J’ai déjà dit. Je suis seul. »
Mariam : « Mais, pourquoi voulez vous aller au Singapore ? »
Siddhârta : « C’est mon pays. Le pays signifie la mère. Qui est plus grande donatrice
                       De l’abri qu’une mère ? »
En suite, il a dit : « Savez vous, j’ai un rêve de retourner à mon pays et acheter un bel appartement ? Je veux l’embellir et chercher l’adresse de mon monde perdu en voyant la mer… »
                                                           Mariam a pensé de sa réaction s’il ait écouté de ne pas avoir les adresses de ses amis d’enfance. Mais, elle a du lui dire. Elle a beaucoup hésité et finalement dit : « J’ai beaucoup cherché. Mais, personne n’a rien informé. »
                                                           Siddhârta l’a écouté tranquillement. Il s’est été triste et il a souri un souri vide : « Vous m’avez tellement aidé …C’est inhumain de vous remercier seulement. Toute la vie, je suis reconnaissant envers vous. »
                                                           Aujourd’hui quand il retourne à sa place, il voit que la couleur du ciel se change. La journée va se finir rapidement. Quelques jours avant, Mariam a annoncé la mort de son rêve. Cette nuit, il dormira sans stresse. 
                                                           En voyant Siddhârta, le gardien lui dit : « Monsieur Bhora t’a appelé. Rencontre-lui. »
                                                           Siddhârta reste sans expression de l’écouter. C’est une nouvelle régulière. Monsieur Bhora souvent lui appelle, quelque fois sans raison spécifique. Si cet officier d’immigration n’a aucun travail, il lit le dossier de Siddhârta et il continue à discuter avec lui.
                                                           Siddhârta est interloqué  de voir son accueil. Monsieur Bhora tient ses mains et il lui fait asseoir à la chaise. Il le salue fébrilement et commente : « Félicitations ! Tu dois célébrer ce jour. »
                                                           En voyant son visage émerveillé  et son expression tranquille, Monsieur Bhora lui encore dit : « T’a pas compris ? Ecoute, Siddhârta, tu es libre maintenant. Tu peux aller n’importe où tu veux ! Oui, n’ importe où tu veux aller à Singapore, Londres, même, à Yangon. »
Siddhârta : « Singapore ? Londres ? »
Bhora : « Oui. Les entreprises de l’avion te donneront le billet gratuit. »
Siddhârta pense et demande : « Est-ce qu’une rêve ? Où il entend mal ? Où Monsieur Bhora fait une blague avec lui ? Aujourd’hui nous ne sommes pas le premier avril. Et puis ? »
                                                          Le gouvernement indien continuellement annonçait que Siddhârta est venu en Inde illégalement. Mais, ce gouvernement ne l’a pas pu envoyer aux autres pays, car, aucun pays ne l’a pas accepté. Mais, aujourd’hui ! Toutes les portes sont ouvertes. Est-ce qu’il un conte de fées ?
                                                          Siddhârta s’assied silencieusement.
                                                          A ce moment, Mariam écoute de changement inattendu de sort pour Siddhârta. Elle est émerveillée en écoutant la parole de Monsieur Saccidânanda :
Grâce à la publication de ses nouvelles à la télévision et aux journaux, Monsieur Indave qui lutte pour les droits de l’homme depuis longtemps, a essayé de montrer avec précision l’histoire de Siddhârta aux conférences internationales. La lutte de sept ans s’est finie aujourd’hui. Selon la Déclaration de Conférence Mondiale à Vienne pour les droits de l’homme, la liberté d’une personne impuissante est respectée.
                                                         Monsieur Saccidânanda remarque : « Mais, c’est le plus surpris que personne ne cherche pas Siddhârta, personne ne dit pas qu’il ou qu’elle le connaît, malgré tant d’annonce aux journaux, aux chaînes. C’est incroyable ! Personne n’est jamais existé qui a étudié ou jouée ou travaillé avec lui ?
                                                        Quelqu’un, sa parente ou son ami, même une personne de sa connaissance aurait déclaré qu’il ou qu’elle ait connu Siddhârta. Mais, ce n’était jamais passé. Personne n’est jamais venu. C‘est un vide dangereux et interminable. Un voyage noir et échoué… »
Mariam dit : « J’ai beaucoup essayé de connaître à ses parentes. Il n’a rien dit. Quand il les a mentionné, ses informations sont été illogiques, fausses. »
« Oui », Saccidânanda dit : « Ses informations n’étaient pas bien liées. Voyons-nous, qu’est-ce qu’il fera, où il ira ! J’ai déjà permis de lui donner le billet n’importe où il veut aller. Le billet sera gratuit. » 
                                                         En sortant du bureau de Monsieur Saccidânanda, Mariam vient au bureau de Monsieur Bhora. Son bureau est déjà très bondée. Apres être informés a la nouvelle de Siddhârta, les journalistes des chaînes et des journaux sont venus en courant ici. Mariam ne peut pas y entrer.
Monsieur Bhora dit à Siddhârta : « Tu est très célèbre maintenant. Emmène-les au transit ! »
Apres être arrivée au transit, Siddhârta invite tous en souriant : « Asseyez-vous, s’il vous plait ! »
                                                             Les journalistes et les photographes prennent leurs places dans ce grand transit. Les yeux de Siddhârta cherchent Mariam et la trouve. Deux heures avant, Mariam lui a conté la mort de son rêve. : Elle n’a pas trouvé ses amis (de Siddhârta) d’enfance. Il vient a Mariam et demande : « Vous voulez commenter ? »
Mariam : « Je suis très heureuse d’écouter la nouvelle. Félicitations ! »
Siddhârta : « Merci beaucoup ! Si vous êtes libre, asseyez-vous s’il vous plait ! Ecoutons-nous tous qu’est-ce qu’ils posent ! »
Il est debout devant les journalistes attendus et dit : « Oui, je suis prêt. »
Une douzaine de questions se posent ensemble ment.
« Votre réaction après être libre ? »
« Décidez-vous aller où? »
« A qui voulez-vous contacter premièrement ? »
« Retournerez chez votre pays ? Ou un autre pays ? »
« Contez-nous votre expérience de rester ici ! »
« Qu’est-ce que vous ferez ? Où ? »
« Demanderiez-vous le dédommagement au gouvernement ? » 
                                                               En écoutant ces questions, Siddhârta sent mal de tête. Il se rappelle tous que Mariam lui a dit : « personne ne reste à sa domicile de Singapore, ses amis non plus, ni leurs adresses, ni leur existence. Ses amis n’ont jamais habité aux adresses données à Mariam. Kiti n’est pas là. Elle n’y a jamais été. Ni Rabin, Flora, Yung. Jamais. Mais, Mariam est là. Et Abani, Bhora sont la. Et aussi, Mandira, Pandey, Sahadat, Kishor, Bhajan, surtout les gens de l’aéroport qui prennent le soin de Siddhârta tant d’ans, qui lui aident, qui l’aiment avec affection ------- ils sont là.
                                                               A ce moment un journaliste a posé Siddhârta : « Pourquoi vous ne nous répondez pas ? »
En regardant tous, Siddhârta dit : « Si vous avez d’autres questions, posez-moi ! Je donne une réponse entière pour toutes les questions. »
Le journaliste : « Quand vous partirez ? »
                                                               Siddhârta se lève de sa chaise et regarde tous. Mariam est debout silencieusement dans un coin. Il y a le silence et l’anquietude dans le transit. De la grande fenêtre, Siddhârta voie la distance infinie du ciel ---- l’horizon qui s’allège rouge par le coucher du soleil. Il répond lentement : « Je n’irai nul part. Je resterai ici. C’est ma maison, mon domicile… » 
                                                               Qu’est-ce qu’il y a à sa parole ? A l’expression de son visage ? Sa voix fait arrêter les journalistes cuisants ---- les ergoteurs pour quelques moments. Tout est en silence du entière. Ils essayent d’habituer les mots indécents de Siddhârta et encore posent les questions l’une après l’autre :
« Pourquoi vous avez tellement lutté depuis longtemps ? »
Siddhârta : « Pour établir mon droit. Mais, ce n’est pas obligatoire que je doive le suivre. 
                     J’ai gagné, c’est vrai. Mais, je reste ici. »
Journaliste : « Le gouvernement indien ne vous permettra pas d’y habiter. Qu’est-ce que vous  ferez ? »
Siddhârta : « Une nouvelle lutte. »
Journaliste : « Qu’est-ce que vous demanderez au gouvernement ? »
Siddhârta : « Le droit de l’homme. »
Journaliste : « Donc, vous n’irez nulle part ? Vraiment ? C’est votre décision finale ? »
Siddhârta : « Je n’irai pas d’ici. Les employées de cet aéroport sont mes parentes.
                       Pourquoi je les quitte ? Pourquoi je pars ? Je ne peux pas aller ---- je
                       N’irai pas. » 
                                           Tous les journalistes partent le transit. A cette place vide, Mariam vient à Siddhârta, mais elle ne trouve aucun mot de lui dire. Siddhârta est déjà très fatigué. Il s’étend au sofa et il couvre ses yeux par les mains. La fragrance de Mariam frappe sa pensé comme le ruisseau de fontaine.
                                           Maintenant, il prend ses mains à  part et il s’assoit proprement.
                                           Il voit Mariam avec une vue vide et confuse. En contrôlant tant de tristesse, il dit à la voix mélancolique : « Vous avez déjà trouvé qu’il n’y avait rien a mon pays, ni de parentes ni d’amis. Et puis, pourquoi j’y irai ? Ici, j’ai tous mes amis, mes gardiens. Vous êtes aussi. Vous voulez que j’aille ? » 
                                          Mariam est touchée par pauvre Siddhârta. Elle a de la sensation d’affection et d’engouement. Tout à  coup, une passion perdue saute à son cœur comme si elle passe le monde de re-naissance. Mariam met la main à la tête de Siddhârta et lui dit : « Je n’ai jamais dit d’aller. Je ne le dirai jamais… » 

                                                            Fin 
                                                                                                                                                      
*Kapilavastu : C’était la capitale du roi Vikramaditya
**Vikramaditya : Il était le plus grand et le plus populaire roi  parmi les rois parmi la  famille Gupta a la première siècle en Inde.

Le 20 mars, 2011

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